Les Alpes italiennes en hiver. Un vieil homme solitaire survit. Sa mémoire s'enfuit, son monde se délite. Il rencontre un chien. S'instaure un dialogue à l'humour désespéré avec l'animal, garde-fou et conscience de l'homme. Et puis le printemps arrive et avec lui la fonte des neiges. Un pied apparaît.
Contre brutal, à la limite du fantastique (ou simplement de la folie des hommes ?), ce texte sonne longtemps après avoir refermé le livre.

Ana Ana, petite fille blonde à l'imagination débordante vit dans une jolie maison avec jardin, entourée de six doudous. Avec eux, elle partage tout : jeux, bêtises, chagrins. Vivants ces doudous ? Vous croyez ?
Irrésistible de tendresse, d'intelligence et d'humour.

Un château abandonné par les hommes où ne restent que les animaux soumis à la dictature de Silvio, taureau sanguinaire. Le choix difficile entre révolte violente et résistance pacifique.
Cette BD emprunte à la fois à La Fontaine et à Benjamin Rabier pour créer une fable politique d'une étonnante efficacité. Edifiant.
A partir de 12 ans.

Un village dans l’extrême nord de la Russie. La nuit 6 mois de l’année et la neige pour unique paysage. Elia est déneigeur, comme son père et son grand-père avant lui. Un jour, des étrangers débarquent, persuadés que la région est riche en pétrole. Ils vont alors creuser cette neige qui recouvre tout… tout ce qu’Elia a décidé jusque-là de laisser recouvert…
Matteo Porru a 22 ans, il signe là son 4e roman, le 1er traduit en français.
L’écriture brillante et pure, très maîtrisée, décrit avec une très grande justesse l’humanité de cet homme qui, bien que gelée, est là, brute et magnifique.

Un village dans l’extrême nord de la Russie. La nuit 6 mois de l’année et la neige pour unique paysage. Elia est déneigeur, comme son père et son grand-père avant lui. Un jour, des étrangers débarquent, persuadés que la région est riche en pétrole. Ils vont alors creuser cette neige qui recouvre tout… tout ce qu’Elia a décidé jusque-là de laisser recouvert…
Matteo Porru a 22 ans, il signe là son 4e roman, le 1er traduit en français.
L’écriture brillante et pure, très maîtrisée, décrit avec une très grande justesse l’humanité de cet homme qui, bien que gelée, est là, brute et magnifique.