- EAN13
- 9782955142905
- ISBN
- 978-2-9551429-0-5
- Éditeur
- JAGUARUNDI
- Date de publication
- 24/03/2015
- Dimensions
- 2,4 x 1,6 x 0,8 cm
- Poids
- 401 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Mon cinéma de A à Z
Autobiographie alphabétique d'un cinéaste atypique
De Julien Richard-Thomson
Jaguarundi
Offres
« Un livre sur le parcours atypique de ce cinéaste culte » L’OBS
« Une plume sereine et extrêmement lucide » Filmfantastique.com
« Une autobiographie assez fascinante » MAD MOVIES
« Un abécédaire retraçant le parcours de l’outsider du cinéma français » LIBERATION
Une critique parue sur le site LE MAGUE (www.lemague.net) et reprise sur le site de l'éditeur :
Julien Richard-Thomson a publié il y a quelques mois une « autobiographie alphabétique » retraçant son parcours atypique. Il revient sur ses débuts (il tourne les premiers Direct To Vidéo français dans les années 90 avec la revue Mad Movies, des « séries Z parodiques » à l’esprit potache) et les péripéties – souvent hilarantes – des tournages à tout petits budgets. Il aborde aussi la difficulté de tourner des films de genre fantastique ou d’anticipation dans notre pays, qui semble fermé au « cinéma de l’imaginaire ». Ainsi il évoque longuement les pitchs de ses projets avortés faute de financement, de Cargo Vaudou à Crash Test, des projets décalés teintés d’humour et souvent de fantastique. Influencé par le cinéma américain, des frères Coen à Tarantino en passant par des cinéastes plus sombres comme Lynch ou Cronenberg, Julien Richard-Thomson apparaît comme un artiste marginal mais attachant et disons-le, prometteur. A lire !
« Une plume sereine et extrêmement lucide » Filmfantastique.com
« Une autobiographie assez fascinante » MAD MOVIES
« Un abécédaire retraçant le parcours de l’outsider du cinéma français » LIBERATION
Une critique parue sur le site LE MAGUE (www.lemague.net) et reprise sur le site de l'éditeur :
Julien Richard-Thomson a publié il y a quelques mois une « autobiographie alphabétique » retraçant son parcours atypique. Il revient sur ses débuts (il tourne les premiers Direct To Vidéo français dans les années 90 avec la revue Mad Movies, des « séries Z parodiques » à l’esprit potache) et les péripéties – souvent hilarantes – des tournages à tout petits budgets. Il aborde aussi la difficulté de tourner des films de genre fantastique ou d’anticipation dans notre pays, qui semble fermé au « cinéma de l’imaginaire ». Ainsi il évoque longuement les pitchs de ses projets avortés faute de financement, de Cargo Vaudou à Crash Test, des projets décalés teintés d’humour et souvent de fantastique. Influencé par le cinéma américain, des frères Coen à Tarantino en passant par des cinéastes plus sombres comme Lynch ou Cronenberg, Julien Richard-Thomson apparaît comme un artiste marginal mais attachant et disons-le, prometteur. A lire !
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