Ni parlements, ni syndicats : Les conseils ouvriers !, les conseils ouvriers !
EAN13
9782913112193
ISBN
978-2-913112-19-3
Éditeur
NUITS ROUGES
Date de publication
Nombre de pages
324
Dimensions
19,5 x 12 cm
Poids
324 g
Langue
français
Langue d'origine
allemand
Code dewey
320.532
Fiches UNIMARC
S'identifier

Ni parlements, ni syndicats : Les conseils ouvriers !

les conseils ouvriers !

Édité par ,

Nuits Rouges

Indisponible
« Anéantir la totalité de l'appareil d'Etat bourgeois, avec son armée, sa police, ses geôliers et ses juges, avec ses curés et ses bureaucrates, voilà la première tâche de la révolution prolétarienne. » Ce programme net sans ambages était celui du Parti communiste ouvrier d'Allemagne (KAPD), en ces années agitées, de 1918 à 1923, où l'on put croire que ce pays allait suivre l'exemple russe de 1917 et assurer ainsi le triomphe de la révolution mondiale. Ses militants, qualifié de « gauchistes » par Lénine, avaient leurs conceptions propres (antiparlementaristes et antisyndicalistes) qui les séparaient tant des bolchéviks autoritaires que des spartakistes indécis, et, plus tard, de la direction du PC officiel, bien vite inféodée à Moscou. Les auteurs des textes et discours ici reproduits sont pour la plupart tombés dans l'oubli. A l'exception peut-être du psychologue Otto Rühle ; des futurs « nationaux-bolchéviks » Laufenberg et Wolffheim, dirigeants de la révolution de 1918 à Hambourg ; du poète hollandais Hermann Gorter ; de l'astronome, théoricien des conseils ouvriers, Anton Pannekoek ; ou enfin de Franz Pfemfert, directeur du journal expressionniste Die Aktion.
S'identifier pour envoyer des commentaires.