- EAN13
- 9782390650058
- ISBN
- 978-2-39065-005-8
- Éditeur
- WALDEN WITHMAN
- Date de publication
- 17/05/2024
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 2,1 x 2,5 cm
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Les origines du grade de maître dans la franc-maçonnerie & Histoire de la Reine du matin et de Soliman, Prince des génies
La légende d’Hiram
Eugène Goblet D'Alviella, Gérard De Nerval
Walden Withman
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Deux textes complémentaires dans un même ouvrage abordant les particularités du grade de maître dans la franc-maçonnerie.
La Loge bleue ou symbolique forme une pyramide à trois degrés : les apprentis, les compagnons, les maîtres. Chacun de ces degrés possède sa formule de serment, ses symboles, ses rites et ses légendes propres. Dans l'esprit de l'institution ce sont les maîtres qui, seuls, possèdent la plénitude et la finalité du secret maçonnique. En a-t-il toujours été ainsi au sein de la franc-Maçonnerie et, dans la négative, quelles sont les origines respectives de ces trois degrés ? Si, comme d'aucuns le soutiennent relativement au grade de maître, la franc-maçonnerie spéculative a transformé ici un rang ou une fonction en un degré, dans quel but et sous l'influence de quels éléments s'est accomplie la transformation ? En examinant ces questions, l’auteur traite outre de l'origine du degré, de l'histoire de sa légende et de l'interprétation de son symbolisme.
Dans son « Voyage en Orient », Gérard de Nerval relate la légende de maître Hiram (AdonHiram dans le texte), de Salomon (Soliman) et de la reine de Saba (Reine du matin) que lui aurait transmise un conteur de Constantinople. Le récit de la légende d’Ham Abif fait par Gérard de Nerval n’est pas, loin s’en faut, le premier. Cependant, la proximité de l’auteur avec les milieux maçonniques nous donne à penser que les éléments fondamentaux du mythe maçonnique qu’il y relate sont ceux qui président à l’initiation au troisième degré telle que pratiquée aujourd’hui aux différents rites.
La Loge bleue ou symbolique forme une pyramide à trois degrés : les apprentis, les compagnons, les maîtres. Chacun de ces degrés possède sa formule de serment, ses symboles, ses rites et ses légendes propres. Dans l'esprit de l'institution ce sont les maîtres qui, seuls, possèdent la plénitude et la finalité du secret maçonnique. En a-t-il toujours été ainsi au sein de la franc-Maçonnerie et, dans la négative, quelles sont les origines respectives de ces trois degrés ? Si, comme d'aucuns le soutiennent relativement au grade de maître, la franc-maçonnerie spéculative a transformé ici un rang ou une fonction en un degré, dans quel but et sous l'influence de quels éléments s'est accomplie la transformation ? En examinant ces questions, l’auteur traite outre de l'origine du degré, de l'histoire de sa légende et de l'interprétation de son symbolisme.
Dans son « Voyage en Orient », Gérard de Nerval relate la légende de maître Hiram (AdonHiram dans le texte), de Salomon (Soliman) et de la reine de Saba (Reine du matin) que lui aurait transmise un conteur de Constantinople. Le récit de la légende d’Ham Abif fait par Gérard de Nerval n’est pas, loin s’en faut, le premier. Cependant, la proximité de l’auteur avec les milieux maçonniques nous donne à penser que les éléments fondamentaux du mythe maçonnique qu’il y relate sont ceux qui président à l’initiation au troisième degré telle que pratiquée aujourd’hui aux différents rites.
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